Alamoriska – Awel Ayta
LA grosse claque du mois vient du Maghreb !
Plus qu’une comédie musicale, le projet Awel Ayta du collectif Alamoriska expose l’excellence, la créativité et la réalité de la jeunesse algérienne. Une découverte que l’on doit à Sofiane Saidi, premier à avoir relayé cette merveille.
C’est magnifiquement mis en scène, de manière subtile et sublime qu’Alamoriska relaie le cri « d’une jeunesse qui veut se réapproprier sa citoyenneté, qui veut retrouver le gout de Vivre et l’envie d’Agir. Un premier cri qui marque le réveil d’une conscience collective, et la renaissance d’une union sacrée à travers la solidarité citoyenne. »
Un bijou musical et visuel, loin des clichés et idées reçues, qui nous plonge dans les joies, les revendications et les aspirations d’un peuple, exprimées de manière singulière.
Ce n’est pas réellement un groupe mais le travail de tout un collectif Alamoriska, qui se veut être maghrébin, essentiellement nous sommes algériens et vivant à Marrakech. Les 5 personnages principaux de ce film sont donc algériens.
Nous avons ressenti le besoin, étant loin de notre pays, d’offrir une oeuvre dans laquelle tout le monde puisse se reconnaître et reconnaître le combat que ce peuple mène.
Mokrane Tighermet, Mehdi Gharras et Hakim Kerri sont des vrais musiciens, ainsi que Nadir Mohammedi et moi… Nous avons chacun à notre manière mis la main à la pâte laissant la spontanéité l’emporter.
Rami Aloui
Crédits
- Marian Filali : make-up art et chorégraphie
- Salma Bourjila : direction artistique et décoration, assistée par Sana Mezrai Zeddoun,
- Amine Arrom : prise de son,
- Taha Nouri : prise d’images avec Rami Aloui
- Mounir Kelia : montage avec Rami Aloui
- Slimo et Mohamed Zohair : cuivres
- ESAV Marrakech : mise à disposition de tous les moyens
- Nadir Mohammedi : co-écriture et co-réalisation
- Kenza Mamene Menebhi : la maman
- Abderrahim Samih : le papa
- Djohar Mehidi
- Imad Hajji : VFX
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